« Rêver d’un robot qui nous aimera n’équivaut-il pas à s’aimer soi-même ? Car le robot n’a ni émotion, ni intention, ni désir, ni plaisir, ni conatus au sens de Spinoza . »
Laurence Devilliers , Les robots « émotionnels », p. 214
« Rêver d’un robot qui nous aimera n’équivaut-il pas à s’aimer soi-même ? Car le robot n’a ni émotion, ni intention, ni désir, ni plaisir, ni conatus au sens de Spinoza . »
Laurence Devilliers , Les robots « émotionnels », p. 214